Mais cette influence n’est pas à sens unique. Ainsi, c’est à partir des années 20 que le jazz débarque à Cuba, et la visite de Duke Ellington dans l’île, en 1933, ne fait qu’accroître l’intérêt du public pour cette musique.
Le même Duke Ellington ouvrira la voie au "jazz cubain", quelques années plus tard, grâce aux compositions de son tromboniste portoricain Juan Tizol, qui mêlent aux harmonies du jazz nord-américain, les rythmes afro-cubains : "Caravan" (1937), "Conga Brava" (1940) et "Perdido" (1942). |